Si vous cherchez un vin à proposer en apéritif, pour accompagner votre plat de charcuterie ou vos toasts de tapenade, le rosé peut être un excellent choix !
Le rosé est souvent considéré comme un « vin de plaisir ». Traduisez : un vin fruité, sans complexité, à boire jeune (quand je dis jeune, je fais référence à l’âge du vin et non celle du dégustateur ! 🙂 .
Je vous propose dans cet article de mieux connaître le rosé en 3 idées clés : Vous allez découvrir ici les 2 techniques pour fabriquer un rosé. Vous apprendrez ensuite comment déguster facilement un rosé. C’est parti !
Pour développer votre palais et progresser dans la dégustation du vin, lisez devenez un bon dégustateur
Clé 1 : Le rosé est un vin à boire jeune
On considère souvent le rosé comme un vin à boire dans sa jeunesse.
C’est généralement vrai, car le rosé ne possède pas la structure d’un vin de garde.
Par structure d’un vin de garde, je fais référence :
- Au niveau de tanin, ou/et
- Au niveau d’acidité, et
- A la complexité olfactive
Pour en savoir plus sur ce qui fait qu’un vin peut vieillir, je vous recommande de lire Comment savoir si un vin peut vieillir.
Pour mieux comprendre cela, regardez la courbe de vieillissement du vin, ci-dessous : en fonction du type de vin, le temps de garde attendu est plus ou moins long.

Pour mieux comprendre ce qui différencie ces types de vin, je vous représente schématiquement le profil du vin autour de 4 axes :
- acidité
- onctuosité
- tanin
- complexité olfactive.

A présent, voilà comment je représenterai chacun de ces vins :

Notre rosé, qui possède généralement une bonne fraîcheur (=acidité) et des arômes sur le fruit, sera donc considéré comme un vin à boire jeune, dans les 1 à 2 ans.
Ça va jusque-là ?
Bon, attention quand même, car il y a des exceptions !
On peut en effet trouver des rosés qui ont plutôt ce type de profil :

Certes, ce n’est pas la norme, mais cela arrive. Je pense à certains rosés de Bandol, ou de Tavel… ou bien le Château Simone à Palette… la concentration de ces rosés vous permettra de les faire vieillir 5 à 10 ans.
Clé 2 : Les 2 techniques pour fabriquer du rosé
Voilà une partie très importante !
Prenez le temps de bien la lire, car cela fait partie des notions essentielles à connaître.
La base à connaître
Tout d’abord, ce qui caractérise le rosé, c’est sa couleur, entre le blanc et le rouge.
Vous voyez, ça commence doucement 🙂

Pour obtenir cette couleur, on fait en sorte de transmettre des pigments colorants (issus du raisin ou cépage), pour obtenir une couleur… qui est cependant moins intense que celle d’un rouge.
Comment extraire ces pigments colorants ?
Et bien dans tous les cas, il s’agit de mettre en contact le jus (issu de la pulpe du raisin) et la peau du cépage rouge, pour en extraire les pigments colorants.
C’est donc le même principe que pour le vin rouge, sauf que l’extraction (le temps de macération, si vous préférez) est bien plus courte.

Or, si le temps de macération jus+peau est réduit, quelle est l’incidence sur le vin rosé produit ? (en plus de la couleur plus pâle)
Et bien, le vin rosé ne possédera a priori pas de tanin, et ses arômes ne seront pas les mêmes !
Et oui, rappelez-vous ceci concernant les tanins : c’est la durée de macération (et la température) qui permet leur extraction.
Pensez donc à votre thé que vous laissez infuser quelques minutes…
- dès le début de l’infusion, la couleur se diffuse.
- Mais plus l’infusion se prolonge, plus les arômes sont intenses…
- puis l’amertume apparaît, apportée par les tanins du thé.

Vous voyez, les tanins ont « plus de mal » à être extraits. Il faut prolonger l’infusion du thé quelques minutes avant de les percevoir.
Et bien pour le vin, c’est la même chose. Les tanins ne sont pas tout de suite extraits. Le temps de macération faible ne permet généralement pas leur extraction, c’est pourquoi le rosé ne possède pas l’amertume caractéristique du vin rouge. (et qui provient des tanins).
Les 2 techniques pour obtenir du rosé
- La 1ere technique consiste simplement à presser les raisins à peau rouge, sans faire aucune macération préalable. Du coup, il est difficile d’extraire des pigments colorants de la peau, sans cette étape de macération. C’est pourquoi le rosé obtenu sera très pâle. Cette technique consistant à presser directement le raisin est appelé … le pressurage direct.
- La 2ème technique consiste à effectuer une macération entre les peaux rouges et le jus. C’est donc le même principe que le vin rouge, sauf que la macération ne dure que 6 à 18 heures environ. Contre plusieurs jours pour les vins rouges. Le vigneron vide ensuite sa cuve (il « saigne » sa cuve) d’une partie du jus, et il prolonge la macération sur le reste de la cuve … pour obtenir une cuvée de vin rouge. Cette technique consistant à saigner la cuve après une macération courte est appelée … la saignée.

Clé 3 : Apprenez à déguster le rosé
Rappelez-vous, la dégustation du vin se fait en 3 étapes. Vous pouvez revoir cela sur le guide de dégustation en pdf, et également sur comment reconnaître un vin à l’aveugle, la méthode pour les nuls.
Bien.
Dans le cas de notre rosé, nous allons voir les points principaux à considérer, à chaque étape de la dégustation.
1. L’Œil
La couleur : Certes, le rosé est d’intensité pâle, mais cela ne nous empêche pas de voir diverses nuances dans ces couleurs.
Voici quelques couleurs et vocabulaire.

Qu’est ce qui joue sur la couleur du rosé ?
Et bien, en vieillissant, le rosé s’oxyde et sa teinte passe du violacé (ou cerise) au saumon. En gros, les nuances jaunes deviennent plus présentes.
Voilà donc un premier facteur qui explique les différentes teintes du rosé : l’âge du vin.
D’autre part, l’intensité colorante (le fait que le rosé est pâle ou plus foncé) est liée à la méthode de vinification (voir juste au-dessus : le pressurage direct donne des rosés plus pâles que la saignée)
Je vous résume cela sur le nuancier de couleur de l’ITV, Institut Français de la Vigne et du Vin :

L’âge et la macération jouent donc sur la couleur de votre rosé.
Un autre facteur jouant sur la couleur ? le type de cépage !
Certains cépages donneront des robes plus soutenues et framboises, et d’autres des robes plus pâles et plus saumonées.
2. Le nez
Nous avons vu que le rosé est un vin à boire généralement jeune, et issu d’une courte macération peaux/jus.
Ceci explique les arômes principaux du rosé, qui sont des « arômes de fraîcheur » : J’insiste donc particulièrement sur la gamme des fruits et des fleurs. En effet, ce sont des familles d’arômes apportées par le cépage. Au passage, pour (re)voir ce qui apporte les arômes, jetez un coup d’œil à la classification des arômes du vin en 3 catégories.

Sur certains rosés, la gamme d’arômes est un peu plus large : vous trouverez des familles épicées. Ceci est particulièrement vrai sur les rosés méditerranéens, à base de mourvèdre ou de syrah. Vous retrouverez généralement ces notes épicées sur des rosés de plus longue garde.
Si vous laissez votre rosé vieillir, ses arômes vont évoluer. Ils passeront des fruits frais aux fruits secs, confits.
Et oui, c’est un peu l’évolution naturelle du fruit que vous allez ressentir !
Si vous passez sur des notes de cuir, champignon, sous-bois, c’est généralement que votre rosé est sur le déclin …

3. La bouche
Alors, nous avons vu que le rosé n’est a priori pas tannique.
Son équilibre se construit autour des axes acidité / onctuosité.
Dans la grande majorité des cas, on recherche la fraîcheur du rosé. En d’autres termes : une acidité bien présente.
- Si le rosé manque d’acidité, il pourra paraître trop lourd.
- Mais si l’acidité est excessive et n’est pas compensée par du gras, alors il sera vert !
et oui, c’est toujours une question d’équilibre !

Pour mieux comprendre cela, je vais maintenant comparer le rosé à 2 vins rouges :
- Un rouge à boire jeune
- Un rouge de garde
.Je vous représente ces 3 types de vins sur la matrice du profil gustatif :

Vous voyez (même si mon écriture n’est pas toujours très lisible 🙂 ) : notre rosé, à la différence des rouges, n’est (en général) pas concerné par les tanins. C’est son acidité, sa fraîcheur, qui le caractérise.
Récapitulons
Voici quelques schémas issus de cet article :

Cliquez sur ce lien pour télécharger le schéma en pdf.
3 clés pour tout savoir sur le rosé
Le rosé est souvent considéré comme un « vin de plaisir ». Traduisez : un vin fruité, sans complexité, à boire jeune (quand je dis jeune, je fais référence à l’âge du vin et non celle du dégustateur ! 🙂 .
Je vous propose dans cet article de mieux connaître le rosé en 3 idées clés : Vous allez découvrir ici les 2 techniques pour fabriquer un rosé. Vous apprendrez ensuite comment déguster facilement un rosé. C’est parti !
Clé 1 : Le rosé est un vin à boire jeune
On considère souvent le rosé comme un vin à boire dans sa jeunesse.
C’est généralement vrai, car le rosé ne possède pas la structure d’un vin de garde.
Par structure d’un vin de garde, je fais référence :
Pour en savoir plus sur ce qui fait qu’un vin peut vieillir, je vous recommande de lire Comment savoir si un vin peut vieillir.
Pour mieux comprendre cela, regardez la courbe de vieillissement du vin, ci-dessous : en fonction du type de vin, le temps de garde attendu est plus ou moins long.
Pour mieux comprendre ce qui différencie ces types de vin, je vous représente schématiquement le profil du vin autour de 4 axes :
A présent, voilà comment je représenterai chacun de ces vins :
Notre rosé, qui possède généralement une bonne fraîcheur (=acidité) et des arômes sur le fruit, sera donc considéré comme un vin à boire jeune, dans les 1 à 2 ans.
Ça va jusque-là ?
Bon, attention quand même, car il y a des exceptions !
On peut en effet trouver des rosés qui ont plutôt ce type de profil :
Certes, ce n’est pas la norme, mais cela arrive. Je pense à certains rosés de Bandol, ou de Tavel… ou bien le Château Simone à Palette… la concentration de ces rosés vous permettra de les faire vieillir 5 à 10 ans.
Clé 2 : Les 2 techniques pour fabriquer du rosé
Voilà une partie très importante !
Prenez le temps de bien la lire, car cela fait partie des notions essentielles à connaître.
La base à connaître
Tout d’abord, ce qui caractérise le rosé, c’est sa couleur, entre le blanc et le rouge.
Vous voyez, ça commence doucement 🙂
Pour obtenir cette couleur, on fait en sorte de transmettre des pigments colorants (issus du raisin ou cépage), pour obtenir une couleur… qui est cependant moins intense que celle d’un rouge.
Comment extraire ces pigments colorants ?
Et bien dans tous les cas, il s’agit de mettre en contact le jus (issu de la pulpe du raisin) et la peau du cépage rouge, pour en extraire les pigments colorants.
C’est donc le même principe que pour le vin rouge, sauf que l’extraction (le temps de macération, si vous préférez) est bien plus courte.
Or, si le temps de macération jus+peau est réduit, quelle est l’incidence sur le vin rosé produit ? (en plus de la couleur plus pâle)
Et bien, le vin rosé ne possédera a priori pas de tanin, et ses arômes ne seront pas les mêmes !
Et oui, rappelez-vous ceci concernant les tanins : c’est la durée de macération (et la température) qui permet leur extraction.
Pensez donc à votre thé que vous laissez infuser quelques minutes…
Vous voyez, les tanins ont « plus de mal » à être extraits. Il faut prolonger l’infusion du thé quelques minutes avant de les percevoir.
Et bien pour le vin, c’est la même chose. Les tanins ne sont pas tout de suite extraits. Le temps de macération faible ne permet généralement pas leur extraction, c’est pourquoi le rosé ne possède pas l’amertume caractéristique du vin rouge. (et qui provient des tanins).
Les 2 techniques pour obtenir du rosé
Clé 3 : Apprenez à déguster le rosé
Rappelez-vous, la dégustation du vin se fait en 3 étapes. Vous pouvez revoir cela sur le guide de dégustation en pdf, et également sur comment reconnaître un vin à l’aveugle, la méthode pour les nuls.
Bien.
Dans le cas de notre rosé, nous allons voir les points principaux à considérer, à chaque étape de la dégustation.
1. L’Œil
La couleur : Certes, le rosé est d’intensité pâle, mais cela ne nous empêche pas de voir diverses nuances dans ces couleurs.
Voici quelques couleurs et vocabulaire.
Qu’est ce qui joue sur la couleur du rosé ?
Et bien, en vieillissant, le rosé s’oxyde et sa teinte passe du violacé (ou cerise) au saumon. En gros, les nuances jaunes deviennent plus présentes.
Voilà donc un premier facteur qui explique les différentes teintes du rosé : l’âge du vin.
D’autre part, l’intensité colorante (le fait que le rosé est pâle ou plus foncé) est liée à la méthode de vinification (voir juste au-dessus : le pressurage direct donne des rosés plus pâles que la saignée)
Je vous résume cela sur le nuancier de couleur de l’ITV, Institut Français de la Vigne et du Vin :

L’âge et la macération jouent donc sur la couleur de votre rosé.
Un autre facteur jouant sur la couleur ? le type de cépage !
Certains cépages donneront des robes plus soutenues et framboises, et d’autres des robes plus pâles et plus saumonées.
2. Le nez
Nous avons vu que le rosé est un vin à boire généralement jeune, et issu d’une courte macération peaux/jus.
Ceci explique les arômes principaux du rosé, qui sont des « arômes de fraîcheur » : J’insiste donc particulièrement sur la gamme des fruits et des fleurs. En effet, ce sont des familles d’arômes apportées par le cépage. Au passage, pour (re)voir ce qui apporte les arômes, jetez un coup d’œil à la classification des arômes du vin en 3 catégories.
Sur certains rosés, la gamme d’arômes est un peu plus large : vous trouverez des familles épicées. Ceci est particulièrement vrai sur les rosés méditerranéens, à base de mourvèdre ou de syrah. Vous retrouverez généralement ces notes épicées sur des rosés de plus longue garde.
Si vous laissez votre rosé vieillir, ses arômes vont évoluer. Ils passeront des fruits frais aux fruits secs, confits.
Et oui, c’est un peu l’évolution naturelle du fruit que vous allez ressentir !
Si vous passez sur des notes de cuir, champignon, sous-bois, c’est généralement que votre rosé est sur le déclin …
3. La bouche
Alors, nous avons vu que le rosé n’est a priori pas tannique.
Son équilibre se construit autour des axes acidité / onctuosité.
Dans la grande majorité des cas, on recherche la fraîcheur du rosé. En d’autres termes : une acidité bien présente.
et oui, c’est toujours une question d’équilibre !
Pour mieux comprendre cela, je vais maintenant comparer le rosé à 2 vins rouges :
.Je vous représente ces 3 types de vins sur la matrice du profil gustatif :
Vous voyez (même si mon écriture n’est pas toujours très lisible 🙂 ) : notre rosé, à la différence des rouges, n’est (en général) pas concerné par les tanins. C’est son acidité, sa fraîcheur, qui le caractérise.
Récapitulons
Voici quelques schémas issus de cet article :
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