Quel que soit le vin que vous dégustez, efforcez-vous systématiquement d’évaluer son « intensité » en bouche.
De quoi s’agit-il ?
Et bien pour faire simple, l’intensité consiste simplement à décrire le vin comme « léger » ou « fort ».
Continue reading « voilà une notion essentielle en dégustation »
La question du transport des bouteilles revient régulièrement.
Voici un exemple pratique :
Vous achetez quelques belles bouteilles sur Internet, que vous recevez quelques jours plus tard.
Vous ignorez à peu près tout des conditions de transport, alors … vous espérez que la bouteille ne se soit pas détériorée.
Un autre cas :
Continue reading « Comment transporter ses bouteilles ? (pour ne pas les abîmer) »
Il existe une manière simple de classer les vins dans vos dégustations : Il s’agit d’associer les vins à un style.
Un exemple de « style de vin » ?
Et bien, on pourra dira qu’un vin est vif, ou bien rond, voire corsé.
En fait, il n’existe PAS une seule manière d’identifier les styles : Cela peut varier d’un dégustateur à l’autre …
Cependant, l’idée de base est toujours la même : il s’agit d’associer le vin à un « profil gustatif » dominant.
« Retrouver les arômes du vin ? c’est ce qui me pose le plus de problème »
Cette remarque, je l’entends presque quotidiennement sur les cours d’oenologie.Et je ne vais pas vous mentir : Le nez, on ne le travaille pas beaucoup, dans « la vie de tous les jours ».En dégustation, le plus souvent, voilà ce qui se passe :
Si vous souhaitez vous initier au vin, puis progresser dans ce domaine jusqu’à acquérir une expertise, alors…Souvenez-vous qu’il n’y a pas de « parcours type ».
Pas plus qu’il n’y a de diplôme incontournable.
Ce qui compte le plus ?
L’envie d’apprendre. La curiosité, aussi.
Et puis, une bonne dose d’enthousiasme pour y prendre du plaisir, même quand le sujet vous parait trop vaste pour espérer en faire un jour le tour.
Continue reading « Pour se former au vin : Un parcours type ? »
Qu’on le veuille ou non, notre environnement joue sur notre humeur.
J’ai souvent pensé que ce n’était pas le cas, ou plutôt que ça ne devrait pas l’être.
Se sentir bien quand le soleil brille, ou fatigué quand les jours déclinent … Etre ainsi dépendant de son environnement, c’est un peu … déprimant. Et pourtant. L’environnement de manière générale, et le climat en particulier (même si ce n’est qu’un exemple), ont un impact certain sur la manière dont vous vous sentez.
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