L’art de faire vieillir vos rosés

Si vous organisez ce soir un bon dîner en famille ou entre amis, quel vin allez-vous servir ?

Vous allez peut-être me répondre que le choix du vin va dépendre du repas.
Certes. Mais nous sommes entre dégustateurs, alors, partons du principe que c’est le repas qui va dépendre du vin que vous comptez servir !

Alors, dans ce cas : Quelle sera la bouteille que vous allez choisir ?

Vous pensez alors peut-être à cette jolie quille, qui a vieillit de longues années dans votre cave : Ce rouge structuré dont les tanins se sont affinés avec le temps, ou ce blanc gras et corsé, aux arômes complexes…

Je constate une chose : Ce vin, que l’on réserve pour une grande occasion, est rarement un rosé.

Car le rosé, c’est avant tout le vin « facile à boire », le vin de copain, frais et fruité, sans prétention.

Et pourtant : certains rosés sont de grands vins de garde.

Ça vous surprend peut-être, mais regardez :

Ce qui fait la garde d’un vin, c’est :

  • Son niveau d’acidité
  • Son niveau de tanins (dans le cas d’un rouge, voire de certains rosés)
  • Sa complexité olfactive
  • Voire même son onctuosité

Or, un grand rosé peut cumuler fraîcheur (acidité) et complexité olfactive, tout en étant équilibré.

Voilà ce dont nous allons parler dans le nouvel épisode du podcast.
Vous allez y apprendre quelques clés pour mieux comprendre le rosé, et pourquoi vous devriez faire vieillir certains rosés.

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