Que faites-vous une fois que vous avez le vin en bouche ?
Et bien vous le mâchez, et vous aspirez un peu d’air (c’est ce qu’on appelle grumer le vin).
Cela vous permet de mieux percevoir les sensations gustatives.
Puis vous l’avalez, ou le recrachez.
Continue reading « Leçon n°6 : L’art d’évaluer la longueur en bouche »
Lorsque vous dégustez votre verre de vin, vous vous posez généralement cette question : Le vin est-il « léger » ou « fort » ?
c’est ce qu’on appelle le corps du vin.
Et vous avez raison de vous poser la question du corps du vin : En effet, c’est la base pour construire un accord mets et vins, et pour commencer à classer le vin en différents styles.
Continue reading « Leçon n°4 : L’art d’évaluer le corps du vin »
Retrouver les arômes du vin ?
Voilà sans doute la question qui pose le plus de problème au dégustateur.
En effet : Au quotidien, notre nez est finalement peu sollicité.
Alors, devant son verre de vin, on est souvent perdu quand il nous faut mettre un nom sur ce qu’on sent.
Continue reading « Leçon n°3 : Comment retrouver facilement les arômes ? »
Certains vins sont plutôt acides, d’autres plutôt « riche en alcool ». Pour d’autres, ce sont les tanins qui dominent.
Pourtant, derrière ces dominantes (qui font l’identité du vin), on recherche toujours une forme d’équilibre dans le vin.
L’équilibre, c’est le 1er critère qui vous permet de dire qu’un vin est qualitatif.
Continue reading « Leçon n°2 : L’équilibre du vin, une notion essentielle pour le dégustateur »
On voit de tout, dans les commentaires de dégustation.
“Voilà un vin au caractère flatteur, avec une texture raffinée »…
“Un vin qui présente une belle tension qui vient équilibrer sa douceur »…
“Un vin comme une robe légère, une fleur de printemps » (celle-là est de Christian Dior)
Certes, c’est assez joli, en termes de choix des mots!
Mais je ne suis pas sûr que ces descriptions donnent une idée précise du vin dégusté. Continue reading « Comment analyser (facilement) la texture du vin »
A force, ça fait de la peine de jeter tous ces fonds de bouteilles.
En même temps, c’est inévitable : après chaque cours d’oenologie, les quelques gouttes de vin restantes ne sont pas resservies sur un autre cours… faute de quantité suffisante.
Aussi, j’ai installé à nouveau un VINAIGRIER, dans l’atelier du COAM à Paris.
Continue reading « Ce qu’il faut acheter pour ne pas jeter vos bouteilles »
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