J’espère que vous avez passé un bel été, et que ce mois d’août a été pour vous l’occasion de partager quelques bons moments de dégustations.
Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je trouve que la qualité d’une « dégustation hédonique » dépend certes de la qualité de la bouteille, mais aussi des dégustateurs (amis, famille …) qui accompagnent ce moment.
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Vous vous souvenez ? Il n’y a pas longtemps, je vous ai parlé de quelques cépages rouges clés, et de leurs caractéristiques.
En tant que dégustateur, le verre est un peu votre outil de travail. Alors c’est essentiel de bien le choisir. Dans le cas du Champagne, il y a quelques particularités à prendre en compte. En 1er lieu ? La présence des bulles.
Penchez votre verre de vin devant vous, et observez-le du dessus. Vous allez pouvoir observer la brillance, c’est à dire sa capacité à réfléchir la lumière. Je pourrai aussi l’exprimer ainsi : La brillance est la capacité du vin à ne pas absorber la lumière. C’est exactement la même idée bien sûr, mais vous allez voir : Le fait de l’exprimer ainsi rend les choses plus claires. Et surtout, cela permet de comprendre le facteur principal qui joue sur cette brillance !
Aujourd’hui, on s’ouvre une bouteille, et on voyage ensemble dans le Sud-Ouest. Je vous avais proposé il y a quelques temps une dégustation d’un Madiran… Aujourd’hui, nous allons rester dans cette même zone viticole, dans le bassin de l’Adour, sur l’appellation Pacherenc du Vic Bilh.
Si vous débutez dans le vin, vous pouvez commencer par apprendre les caractéristiques de quelques cépages clés. C’est une démarche très utile. Ainsi lors de vos dégustations, vous allez faire le rapprochement entre le profil du vin (son nez et sa bouche) et son cépage principal.