Oui, vous avez bien lu : Nous allons parler ici du « goût de souris », qui est un défaut (aujourd’hui rare) dans les vins. Je vous rassure : Moi non plus, je n’ai jamais croqué dans une souris. ? Alors, si le goût de de souris ne vous dit pas grand chose, vous pouvez penser à d’autres arômes liés au défaut dont nous allons parler : Citons par exemple, la peau de saucisson.
Continue reading « Quand le vin sent … la souris (leçon n°77) »
Il existe des arômes dits minéraux.
Par exemple ?
La pierre à fusil, le silex, le coquillage, la craie …
Or, je ne sais pas ce que vous en pensez, mais retrouver un arôme de coquille d’huitre ou de craie dans un verre de vin n’est pas très … intuitif.
Le cépage malbec ? Il donne généralement des vins noirs comme de l’encre, corsés, tanniques, que vous dégustez en particulier à Cahors.
Dans le nouveau monde, le malbec est associé à un pays : l’Argentine. C’est le cépage le plus planté dans ce pays, avec près de 18% du vignoble. Alors aujourd’hui, pour fêter le vendredi (oui, tout se fête !), nous allons ouvrir ensemble une quille de malbec argentin. Nous allons à Mendoza, sur les vignobles d’altitude de Terrazas de los Andes. A vos verres !
Continue reading « Dégustons ensemble un malbec d’Argentine ! (Leçon 76) »
Vous avez généralement le réflexe de servir d’abord les blancs secs, puis les rouges, et enfin les vins doux.
Continue reading « Votre schéma pour connaître l’ordre de service des vins »
Si vous avez la chance d’avoir une bonne cave, alors peut-être que vous avez l’occasion de déguster de vieilles quilles. C’est toujours une expérience intéressante, car cela permet de voir l’effet du temps sur le vin. Et on constate alors que la différence entre la fin de l’apogée du vin, et le début de son déclin, est parfois … assez faible.
C’est ce que nous allons voir dans cette nouvelle leçon ! Vous allez y apprendre (ou réviser, peut-être !) les repères clés qui permettent de constater en quelques secondes l’évolution de votre bouteille.
Continue reading « Les repères clés pour reconnaître un vieux vin (leçon n°75) »
Si vous goûtez un verre de lait écrémé, puis un verre de lait entier, vous allez probablement percevoir une différence dans les sensations en bouche :
le 1er vous parait léger, et le 2ème vous parait plus gras, plus lourd.
C’est le même type de sensations qui sépare le vin léger du vin puissant.
Vous l’avez sans doute deviné : je fais ici référence à la notion de corps.
C’est une des notions les plus importantes à comprendre, en dégustation.